information général

©BAZZART

La jolie blonde que vous voyez là se nomme Joyce W.ally Calà.
Elle est italiano-américaine. Née à Florence, un an plus tard, sa mère l'embarque aux Etats-Unis laissant le père du jeune bébé en Italie.
La jeune Joyce a vécu beaucoup de choses et ne se laisse pas abattre, elle préfère ne faire attention à rien et ne rien programmé... A suivre dans son histoire (:

ta petite histoire rien qu'a toi

Un jour d’été, très chaud, à Florence, un cri perça l’après-midi ensoleillée. Effectivement, la famille Calà, très connue en Italie pour leur énorme compte en banque et surtout leur restaurant famillial mais aussi pour l’homme Calà qui est un célèbre avocat. Cette belle petite famille qui comptait déjà un petit garçon, accueillit une petite fille aux grands yeux bleus : Joyce Wally Calà. Boucle d’or venant d’intégrer la famille, le couple Calà commença à se disputer l’enfant… La mère de Joyce voulait retourner aux Etats-Unis alors que le père de la famille voulait rester à Florence. Beaucoup de dispute dans le couple qui évidemment rendait la presse assoiffée.
Un an après la naissance de Wally – Oui, tout le monde l’appelle Wally en Italie – sa chère mère décide de l’emmené aux Etats-Unis, laissant les deux hommes Calà à la maison, à Florence. Trop petite pour décider, Joyce ne se rendit même pas compte de son long voyage d’Europe jusqu’à Chicago, la ville natale de sa maison.
Le bébé ne cessa de pleurer deux mois après leur départ. Joyce se rendait-elle compte de l’absence de son père ? Mme Calà ne donna plus jamais de nouvelle de la petite à son père, d’ailleurs, elle ne l’appela plus jamais Wally.
La belle petite fille grandit dans l’insouciance mais évidemment à ses débuts à l’école, la jolie boucles d’or demanda : « Pourquoi tout le monde a un papa et pas moi ? » Tragique… Sa mère ne pouvant expliquer tout cela à sa petite fille lui répondit simplement : «Ton papa est au ciel ma chérie… ».
La petite Joyce ne demanda rien d’autre pendant cinq ans, hélas la petite fille fut choquée… Effectivement, un jour pluvieux à Chicago, la mère de Joyce fut braquée et hélas tuée devant sa petite fille. Que faire ? Joyce attendit patiemment que quelqu’un s’occupe d’elle, sans aucune larme. Elle ne comprenait pas réellement, mais quand elle vu l’air grave d’un policier, elle comprit de suite :
« Ma maman est au ciel, c’est ça ? » Le policier fut un peu choqué de voir que la petite fut aussi saine et intelligente après un tel drame.
Joyce passa de psy à assistante sociale puis de nouveau au psy’, etc. … Pendant plus de trois ans, la jeune fille ne fit que des thérapies et aussi les familles d’accueil. Hélas, à chaque fois que la jeune fille trouva une bonne place, un drame arriva ! Décidemment, la pauvre ne s’en remit jamais.
Quand un jour, une femme vient la recueillir vers l’âge de quatorze ans, Joyce le regretta à jamais. La femme était négligente et ne prêtait aucune attention à la jeune fille, elle la traitait de tout, on aurait pu se croire dans un remake de Cendrillon ! Mais ce que Joyce ne savait pas, c’est que la femme qui l’avait recueillit avait beaucoup d’information sur la jeune fille. Effectivement, un jour, la femme, l’appela Wally ! Cela fit remonter à la surface quelques souvenir, et pleins de questions évidemment. Pendant un an, Joyce s’acherna au lycée pour pouvoir sortir de la mer** que cette femme lui infligeait chaque jour. Evidemment, la femme ne se privait pas de la frapper et Joyce ne pouvait alerté personne sous peine d’en recevoir plus !
Mais un jour où elle se rendit, comme à son habitude, au lycée –avec pleins de bleus sur le visage ainsi que sur le corps- la jeune fille se retourna car son amie l’avait appelée : « Tu viens de Florence non ? Et ton deuxième prénom c’est Wally ? ».
Joyce lâcha un petit oui et sa copine lui fourra une affichette sous les yeux : RECHERCHE. Des tas de noms mais un seul était accompagné de deux photos : Wally Calà. Première photo : un joli bébé avec de grands yeux bleus et des boucles dorées. Deuxième photo : un vieillissement qui s’avérait assez ressemblant du visage actuel de Joyce. Cette dernière fit une grimace et les larmes montèrent. Elle attrapa l’affiche et partit en courant ! Comment sa mère avait-elle pu lui mentir ? Comment avait-elle pu ? Son père la recherchait depuis quinze ans ! Joyce composa le numéro et une heure plus tard se retrouva dans le bureau des affaires sociales et étrangères. Ce que voulait la jeune fille s’était le numéro de son père pour le contacter, le rassurer. Mais dans ce sale bureau, tout le monde la questionna sur les bleus qu’elle avait un peu partout. La jeune fille se fichait de leur répondre mais fut obligé sous peine de ne rien avoir sur son père.
D’une manière ou d’une autre, Joyce avait obtenu le numéro de la famille Calà. A priori, elle avait un frère âgé d’un an de plus.
Deux mois plus tard la jeune fille fugua de chez la sale mégère où elle vivait. Muni de trois ou quatre gros sacs et d’un paquet d’argent (qu’elle avait volé à sa ‘tutrice’) Wally prit l’avion pour Rome. Etant très débrouillarde, elle trouva facilement comment se rendre à l’aéroport. Débrouillarde certes mais elle aime être très entourée donc pour son arrivée à Rome, Joyce avait téléphoné à son père pour qu’il la récupère.
Quinze heures plus tard, la jeune fille venait de prendre ses bagages et remarqua deux hommes avec une plaquette portant le nom : Calà. Avec hâte, Wally se dirigea vers eux et tendit sa main vers le plus âgé :
- Joyce…Enfin, euh, Wally!
L’homme ne prit pas sa main, il la serra contre lui et ne cessa de répéter qu’il était content de la voir. Son frère la prit également dans ses bras. Tout le monde pleurait. Hélas le bonheur fut interrompu quelques instants par les affaires sociales Italiennes…
Croyant en avoir fini avec les thérapies, Joyce fut effroyablement déçue. Bref, elle essaya de mettre cela dans une partie de sa tête et de profiter du bonheur actuel ! A grand étonnement de Wally, une limousine vint les chercher à l’aéroport : « Papa est un avocat réputé » lâcha son frère. Mais quand elle arriva à Florence, la jeune fille crut rêver. Tout le monde demandait à la voir, elle. Elle n’en revenait pas, Joyce qui n’avait jamais été celle dont tout le monde avait envie d’entendre. Il suffisait qu’elle arrive dans cette petite ville pour que tout le monde la réclame.
Quand Wally sortit de la voiture, sa grand-mère la serra dans ses bras. Toute une famille qui l’attendait depuis quinze ans, dire qu’elle avait souffert pendant toutes ses années…
Quelques mois plus tard, une fois qu’elle connaissait bien la famille, Wally s’intéressa de près au gens du village. Chacun avait quelque chose d’exceptionnelle et Joyce voulait leur montrer à quel point tout le monde était différent. La psychologie et Wally c’était une grande histoire ! Ayant beaucoup vécu, la jeune fille se rapprocha de Nasreen, une voisine du même âge. Les deux jeunes filles ont beaucoup de points communs et s’adorent ! Très vite, elles sont devenus meilleures amies et inséparables. Saine d’esprit quand son amie lui avoua qu’elle attendait un petit garçon, Wally fut aux petits soins pour Nas’. Jamais, elle ne l’abandonnera.
Hélas, peu de temps après la naissance du bébé de sa meilleure amie, Joyce dû faire face à ses propres ennuis : son père fut gravement blessé dans un accident de voiture. Suivant toujours des thérapies, elle dû être encore plus entourée par tous les psychologues possible. Même si Joyce ne voulait pas avouer ses faiblesses, elle savait qu’elle pouvait compter sur son amie.
Deux mois après l’accident, la famille Calà ré-ouvre le restaurant familial. Son frère en est le gérant pendant que leur père se rétablit et recommence a travaillé. Hélas, un an plus tard, il décède. C’est le drame, la goutte de trop pour Wally. Elle est saine d’esprit, oui mais ne supporte plus l’idée d’être malheureuse et tente de se suicider. Son frère et sa meilleure amie arrive à temps. Wally est transférée à l’hôpital d’urgence mais sort cinq semaines plus tard. De nouveau, les thérapies s’enchainent…
Heureusement, Joyce s’en remet plutôt bien et veut vivre au jour le jour. Seul problème, elle hésite beaucoup dans le métier qu’elle veut faire. La psychologie l’intéressent beaucoup mais reprendre le cabinet d’avocat de son père également. Ses passions sont aussi le cinéma et la photographie, pour l’instant, elle se consacre à l’écologie, protection animal et tout le tralala. Ses amies et sa famille passent avant tout, où cela la mènera-t-elle ?

toi, qui est derrière ton écran.

prénom / pseudo : Bee
âge : 15 ans
où as-tu connu le forum: Sur Fashion-agency, (j'ai réservé le perso') (:
comment le trouves-tu: J'adore, sinon je ne me serai pas inscrite (: Très beau design
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avatar: Emilie De Ravin
quelque chose à rajouter : Juste que je suis FAAAAAN de votre forum (LL)

Emilie
J'adore ton avatar en passant
BIENVENUE x)
&& bonne chance pour la suite x)

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c'est bon je te valide x)